Kuala Lumpur, la capitale déstructurée

S’il existe bien une capitale Asiatique à laquelle je ne peux succomber, c’est bien Kuala Lumpur.

Kuala Lumpur, KL comme on la nomme ici, une capitale illisible où le métro aérien est caché dans des centres commerciaux et où l’architecture est complètement incohérente, sans doute le résultat d’un riche passé puis d’un fort développement qui a amené à construire en masse sans de réels lignes guide.

Kuala
Lumpur, j’ai beau avoir un plan de la ville, maps me et demander mon chemin…je me perds …mais heureusement les taxis sont toujours là. J’aime bien ce mode de transport dans ce pays, les chauffeurs sont reglos et aiment bien papoter. Prendre le métro une fois qu’on a trouvé où il est planqué c’est pas mal aussi pour le portefeuille, du moins si on a la patience d’attendre 1h pour acheter un ticket sans s’évanouir ! Et oui il fait assez lourd ici tout comme dans le parc aux oiseaux que j’ai choisi de visiter suite à une pub découverte dans le magazine d’Air Asia.

Outre les super hiboux et les calaos qui m’impressionnent beaucoup, ce parc mal entretenu fût une grosse déception tout comme ma visite des alentours du Merdeka Square malheureusement en chantier en ce moment.



China
Town, quartier dans lequel je réside n’a rien d’extraordinaire non plus, un bon point cependant pour un temple du Little India

Dans les tours petronas, décoration et chants de Noël étaient au programme, assez surprenant pour un pays musulman mais ceci dit je ne souhaite pas prolonger mon séjour et pour la première fois je quitte une capitale asiatique seulement deux jours après mon arrivée.



Kuala
Lumpur, un petit tour et puis s’en va…