Malacca ❤️

Une fois débarquée à l’aéroport de Kuala Lumpur, je redécouvre la modernité et grimpe dans un bus en direction de Malacca. Un trajet direct des plus appréciable, je ne suis pas malade, personne ne klaxonne, il y a la climatisation et la route entourée de cette nature verdoyante est en parfait état !

Malacca étant classée à l’Unesco attire de nombreux visiteurs. La majorité se bousculent dans le centre rouge, plus précisément au dutch square. C’est ici qu’on trouvera le plus de trishaw, aussi farfelus soit ils, il faut avouer qu’ils sont décorés avec passion
Moi c’est dans le quartier chinois que je vais passer la majeure partie de mon temps lorsque la météo sera clémente.

Ce coin très paisible de Malacca possède des bâtisses de charme, des temples et une âme. En dehors des rues touristiques ou se mêlent hôtels et restaurants on y retrouve la vraie vie, celle du coiffeur, du garagiste et j’en passe…

Admirez moi ces belles façades !



Malacca
s’est aussi du street art qu’on découvre le long du canal (parfois traversé par un varan )ou dans ses rues adjacentes. Faut il faire la croisière ? Éventuellement dirais je, elle est agréable et musicale mais le tronçon n’est pas très long et c’est un peu une redite si l’on s’est déjà baladé à pied dans le coin. Ceci dit lorsqu’il pleut, mieux vaut être dans le bateau plutôt que de glisser sur le bitume.


La pluie, un bien vaste sujet en cette période de mousson, étant passé entre les gouttes en Thaïlande en octobre, je pensais continuer d’y échapper mais ce ne fût pas vraiment le cas. Le ciel peut changer en un instant, ainsi une balade jusqu’au front de mer ( qui n’est pas terrible faut bien l’avouer ) peut vite se transformer en course dans une pataugeoire. Mais heureusement pour oublier ce mauvais épisode ou pour se mettre à l’abri le temps du déluge, il y a plein de petits cafés-restaurants cosy, comme celui du River Front View.

Vous l’aurez compris, cette escale en Malaisie commence sur une très bonne note 😀